Ce matin, je viens d’apprendre le décès d’un homme dont j’avais eu l’immense plaisir d’apprécier l’érudition, l’humour et la galanterie française. Il m’avait placée sous la protection des Lares.
Dans Y’a pas de souci, je l’avais nommé le Comte de Vauvert. Il vit encore dans mon livre.
Repose en paix, Marc. Je conserve de toi un très beau souvenir.
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Mes condoléances. Les Lares sont en deuil aussi, mais leur mission protectrice continue.